{"title":"(need) to be numb","society_names":"Blair Briar Blackwood","society_age":"28","society_birthdate":"19.03.550","society_location":"n°4 : continuatio","society_gender":"homme","society_pronouns_0":"il / lui","society_orientation":"homosexuel","society_money_status":"classe moyenne","society_job":"agent de sécurité","society_council":"non","society_group":"Hypnos","society_circle":"Aucun","society_feat":"norton campbell (identity V)","society_icon":"url(\"https://i.imgur.com/CaKO4ul.png\")","society_banner":"url(\"https://i.imgur.com/CmgtRa3.png\")","unity_name":"need","unity_date":"19.03.566","unity_rank":"Utilisateur","unity_description":"Sirène ; la beauté de l'océan, mais aussi la noirceur des fonds marins. Need captive ; représente tout ce que Blair ne sera pas, ne sera jamais. L'anonymat déplace des montagnes ; forge une image, un personæ. L'échappatoire d'une vie dont on a perdu le contrôle ; libéré d'inhibition.","unity_feat":"grace (identity V)","unity_icon":"url(\"https://i.imgur.com/MBKujv3.png\")","unity_banner":"url(\"https://i.imgur.com/YZPlJgl.png\")","perso_personality":"Blair a la haine ; de tout, tout, tout. Il a la haine de la société et de son moule perpétuel, du changement en stagnation. Mais plus que tout, Blair à la haine de sa chair, de son être en slow motion; de l'étau dont il se fait prisonnier. Ne s'aime pas, ne s'est jamais aimé et ne s'aimera probablement jamais. Le passé est un boulet qu'il traîne à sa cheville ; lourd et inoubliable, il lui rappel d'où il vient, qui il est. Il enracine. Il empêche d'avancer. La stagnation, encore. Mais quelque part, c'est rassurant, car le futur est étincelant et de sa radiance, il aveugle ; jette une ombre d'anxiété. \n\nBlair a la peur de l'inconnu, la peur du changement ; il y a confort à la monotonie, à la restriction imposée sur soi. Et c'est qu'en fait, difficile de toucher le fond lorsqu'on s'y trouve déjà. Le risque est inconfort ; cataclysme de changement. Il évite.\n\nBlair a la rage ; a les sentiments en tourmente ; préférait l'apathie ; préférait être engourdie. C'est qu'il sent, sent, ressent trop ; n'arrive pas à exprimer les émotions. Constipation émotionnelle ; les sentiments sont là, scellées derrière un sourire plastique et de faux-semblant. \n\nBlair a la destruction au bout des doigts ; cherche les relations sans attache et s'y perd. Utilise et utilisé. Et c'est comme ça que ça devrait être. Cherche le mal, cherche les maux ; cherche l'abandon, cherche l'oubli. \n\nBlair a le magnétisme d'un aimant ; attraction, garde près ceux aimés ; répulsion, les expulsent aussitôt. C'est que c'est plus facile de laisser tomber que d'être laissé tombé. Paradoxe : ne supporte pas le rejet, mais vie de la validation. \n\nBlair a la dérision : toujours plus drôle lorsque la cible est soi-même.\n\nNeed; le désir, le besoin, la nécessité.\nMais aussi l'échappatoire, la promesse d'une réalité illusoire.\nUn monde meilleur. \n","perso_facts_yn":"Oui","perso_facts":"1m88 • brûlures sur la partie gauche (notamment : visage, épaule, bras et côte) • bridge piercing • sent le muguet lorsqu'il ne sent pas la clope • resting bitch face • poisson • istj-t • malgré un rythme de vie bordélique, il est très organisé • il aime que tout soit à sa place • il libelle tout ce qui peut être libellé • chigne lorsqu'on ne respect cet ordre • mord plus fort qu'il n'aboie • a la rancune facile • même s'il n'agit pas sur le moment, il se souvient des coups qu'il lui sont faits • est petty • commande du take-out la plupart du temps • pas qu'il ne sait pas cuisiner, il sait • c'est juste la flemme • a une soeur de 3 ans plus jeune • celle-ci a interdiction de lui parler depuis l'accident • à ce jour, ils ont une relation nébuleuse • ne parle plus à ses parents depuis ses 16 ans • réfère à ses parents comme ‘morts' • considère la mère de Leslie comme sa mère • la respect énormément • comme il respect son fils • d'ailleurs il crush sur Leslie • depuis longtemps • très longtemps • refuse de faire un move • a peur du changement dans leur dynamique • blesse volontairement ce dernier dans l'espoir qu'il abandonne • Leslie avant tout le monde • mais ça ne l'empêche pas d'aller voir ailleurs • de cumuler les one night stand • toujours dans le but d'autodestruction • UNITY est un terrain de jeu • un échappatoire • il y pratique la catfishing; collectionne les relations en surface • jamais en profondeur • ghost et brise des coeurs • aime la poésie • aime la pluie • aime le ciel après la pluie • n'a pas de style musicaux préféré • écoute de tout • s'imerge dans la musique pour noyer le son d'un monde qui va trop rapidement pour lui • aimerait changer, mais ne sait pas comment","perso_story":"Bair est une erreur ; indélébile, il représente ce qui aurait dû être une solution facile. Un colmatage a une problématique qui le dépasse ; l'objet d'un chantage émotionnel qui n'aurait jamais, au final, été d'aucune utilité. Il a trois ans lorsqu'elle se jette dans les bras du premier venu ; se remarie ; donne naissance à Bonnie. \n\nBonnie réussit là où Blair a échoué : elle soude la famille. Pétillante, on l'aime ; et il l'aime aussi. Jusqu'à ce qu'avec le temps, il remarque les différences de traitements : parfois subtiles, parfois délibérées. Ça commence avec un cookie de plus lors du goûte, ça continue avec une dissemblance entre les méthodes de disciplines. Au fond, c'est que Bonnie a toujours ce petit plus, ce petit quelque chose de spécial. Au fond, c'est que Blair est là, juste là. Un bagage qui devient plus lourd avec les années. Les traits se développent et forment un fantôme du passé. \n\nEt comme le fantôme, il est invisible. Enfin, c'est surtout qu'on n'a pas envie de le voir. \nL'attention qu'il n'a pas, il la trouve ailleurs. \n\nBlair fait du bruit ; cherche les ennuies, se fait visible. Force à se qu'on le reconnaisse, car bien que néfaste, l'attention reste de l'attention. \n\nC'est au printemps de ses douze ans qu'il rencontre Leslie.\n\nLeslie. \n\nLeslie qui le voit, qui l'entend. \nBlair est vu. \n\nPas comme l'enfant turbulant qui sème la tempête, mais comme Blair. \nSolitaire, renfermé et en quête d'un vide à combler. \n\nUn duo, une unité. \nOn ne peut mentionner Blair sans parler de Leslie.\nOn ne peut parler de Leslie sans mentionner Blair. \n\nInséparable. \n\nParfois (souvent même), Blair s'en veut de mettre le poids de son insuffisance sur les épaules de Leslie. S'enclenche alors un cycle : il traîne avec les mauvaises personnes, accumule les mauvaises décisions comme il accumule les mauvaises habitudes. \n\nC'est un peu blessé, un peu brisé qu'il sérénade comme un Roméo qui a bu trop. \nImplore l'accès à la fenêtre pour y trouver réconfort, pour recommencer aussitôt. \n\nBlair, bien que vert de jalousie, n'a jamais haït Bonnie. Ça leur arrivait, par occasion, d'avoir des moments entre frère et sœur. C'est l'été de ses seize ans qu'il l'amène hangout avec des copains de surface. Ça se devait être fun, ça se devait être artistique. Au final, ce fût un artifice de couleurs ; de flammes, de déflagration. Qui l'eut cru qu'il ne fallait qu'une clope et une canette de peinture en aérosol ? \n\nC'est lors de son congé de l'hôpital que sa mère lui remet ses valises et de ses yeux las, désapprobateur et de son silence qui demande : pourquoi t'es comme ça ? que Blair hurle c'est toi qui m'a rendu comme ça avant de partir chez Leslie sans regard vers l'arrière. \n\nÀ l'automne de ses dix-huit ans, il emménage avec Leslie. Goûte à liberté, la vraie. Vie une vie de débauche, se jette corps et âme dans un cycle de destruction et de renaissance ; se confond en pardon et en je ne recommencerais plus. Blesse et se blesse. Et peu importe ce qu'il arrive ça se ponctue toujours avec Leslie. Toujours. \n\nBlair n'a jamais eu l'ambition de ceux qui veulent réussir ou encore de ceux qui ont quelque chose à prouver ; il se laisse couler. Alors quand l'argent se fait serré et le loyer tarde à être payé, il enchaîne les jobs ici et là, cumule l'expérience, mais aussi les renvois. \n\nÀ l'hiver de ses vingt-huit ans, Blair n'a rien accompli ; perdu, il se cherche encore. La vie est une monotone routine, un cycle qui n'a pas de fin. Mais au moins, lorsqu'il rentre après une éprouvante journée, il y a Leslie. Leslie qui est toujours là, qui a toujours été là. \n\nLeslie a qui il fait toujours mal. \n\nPuis, il y a UNYTY, là où il est bon d'être n'importe qui sauf soi. ","player_pseudo":"garudynes","player_pronouns":"elle/elle","player_icon":"url(\"https://i.imgur.com/gnKEwOy.png\")","player_description":"bonjour, bonjour! alors moi c'est garu, je rp depuis beaucoup trop longtemps et je suis bien hype d'avoir rejoins cette communauté :hearts: mes passes-temps se résument à regarder des animés et gamer. \n\ndédicace à mnin qui m'a montré le droit chemin. ","design_citation":"first love / late spring; please don't say you love me","design_icon1":"url(\"https://i.imgur.com/QDGv4sW.png\")","design_icon2":"url(\"https://i.imgur.com/lqvlur5.png\")","design_banner":"url(\"https://i.imgur.com/nYIHn6X.jpg\")"}