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1, 2Somnium
Somnium
Fiche : 
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Icône (130x130) : 
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Prénom Nom (La Société) : Eirin Reede
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Eirin Reede
Âge : 31
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Pronoms : Elle/Elle
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Résidence : Stark
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Occupation : Inspectrice de police
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Idéologie : Hypnos
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Cercle : Chapeaux gris
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Messages : 15
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Nectars : 64
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23/09 - Aquarium de Procreatio
Inévitablement, l’ordre fit place au chaos. Allez donc demander à une foule en panique dont l’instinct de survie vient prendre le dessus sur tout le reste. Certains piétinaient les autres, grattant désespérément quelques centimètres vers la sortie, quitte à condamner les autres. Un rapide coup d’œil derrière mon épaule afin de vérifier le niveau de l’eau m’indiquait qu’il fallait vraiment activer le pas. Des teintes carmin maculaient l’eau, comme des fusées rouge dans les cieux lors d’un feu d’artifice. Dévorés par l’animal, une bien triste et sombre fin. Alors que j’essayais tant bien que mal d’aider au maximum les laissés-pour-compte, les plus vieux et les plus jeunes, une femme m’interrompit, en larmes. Terrifiée, désespérée, comme n’importe qui de normalement constitué le serait. Elle m’informa avoir été séparée de son enfant. Et vu où se situait l’eau … Il n’y avait qu’un seul endroit où il pouvait se situer. Ou peut-être était-il tout juste derrière … Cruel dilemme que voici. Abandonner un petit garçon à son funeste sort, et garantir de sauver au moins une personne, ou bien tenter de faire marche arrière, de non seulement risquer ma peau, mais aussi n’avoir aucune garantie de réussite de trouver l’enfant. Deux secondes qui me semblèrent une éternité s’écoulèrent. Serrant la mâchoire et le poing, je répondis.
« Je vais voir si je le trouve. Remontez avec les autres, c’est ma seule condition. »
Prenant brièvement en compte les informations à propos de son fils qu’elle me transmit, je fis demi-tour en me maudissant, ainsi que cette sacrée journée de merde. Avec un peu de chance, il n’était pas encore trop tard … Cherchant un éventuel matériel de plongée laissé par les soigneurs, je m’apprêtait à partir à la recherche du fils perdu, arme au poing, bien que je doute qu’elle soit très efficace contre ces monstruosités. Au moins, cela me donnait un faux air de sécurité très légèrement rassurant, à défaut d’avoir quelqu’un à mes côtés pour m’épauler ...
HRP : Après avoir réfléchi intérieurement pendant ce qui lui semble une éternité, Eirin décide de tenter de retrouver le fils perdu, en forçant la mère à évacuer avec le reste. Elle cherche du matériel laissé par l'équipe de l'aquarium, regrettant de se jeter dans cette mission suicide toute seule. RIP.
Jean-Didier
Jean-Didier
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Prénom Nom (La Société) : Arabella Carvalho
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Âge : 28
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Pronoms : Elle/Elle
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Résidence : Wagner
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Wagner
Occupation : Juriste
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Idéologie : Hypnos
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Messages : 18
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Nectars : 76
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Le décalage s’abattit une demi-minute après.
Son frère.
Et impossible de le voir ou d’espérer même le déceler dans cet amas brouillon désespéré d’échapper où l’immobilité n’est possible ; la vague humaine emportait tous en amont. Même si tout l’air du tréfonds de ses poumons s’expulsait le plus violemment afin d’hurler son nom, la cohue de la panique étouffait ses appels. Une de ses sandales, trempée, avait glissé de son pied, peine perdue d’espérer la récupérer, alors l’autre pied immédiatement, lui aussi, s’était déchaussé.
Non loin, une vieille personne tombe, et la vitesse de la foule redouble la forçant quelques pas plus loin, elle pousse des supplications et le corps d’Arabella se stoppa net, croyant reconnaître cette voix. Il fallut braver les coups de coudes, d’épaules, les mains mortifiées la poussant pour se frayer chemin vers la sortie.
Monsieur King ! ses bras raidis se présentaient à lui pour s’y accrocher vous avez mal ? je vais vous aider.
Il exclame son prénom et se releva.
Il bondit vite, pour quelqu’un de son âge, mais une main étrangère en réalité enroulait le bras frêle, et la voix du propriétaire porta, l’attention portée sur le vieillard jusqu’à ce qu’il la voit. Son menton acquiesça à la proposition.
Je peux l’aider à monter, mais si vous pouviez faire en sorte de minimiser les bousculades, ce serait idéal. Son bras enlaça le vieil homme, sa main venant solidement saisir son flanc. Tenez-vous à moi, Mortimer, vous pouvez vous appuyer autant que vous le souhaitez.
hrp accepte l'aide d'ivan et tient mortimer fermement pour l'aider à gravir les escaliers
UNY
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Prénom Nom (La Société) : La mascotte
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Nectars : 849
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23 septembre 578.
L’eau ne cessait nullement de monter, submergeant ce qui était auparavant un des plus beaux lieux de Procreatio. La majorité des civils étaient en train d’évacuer les lieux, paniqués par le bruit incessant de l’alarme. Personne ne voulait que les portes ne se ferment sur eux, alors tous se pressaient pour sortir.
Alors qu’Eirin s’apprêtait à se jeter à l’eau, l’enfant qu’elle cherchait s’agitait, effrayé par la bête qui venait vers eux. Il n’était pas loin, et avec quelques brasses, il n’aurait aucun mal à rejoindre les escaliers. Mais un gamin de dix ans face à un monstre pareil ne pouvait rester calme, et n’arrivait pas à nager correctement, le ralentissant grandement. Alors que tout semblait perdu pour lui, le son assourdissant d’un tir pourfendit l’air.
Un homme, habillé d’une combinaison, venait de tirer sur le dranguilla, la bête blessée s’enfonça dans les eaux, laissant le temps aux soldats de récupérer l’enfant et Eirin. Une fois à terre, il lui laissa l’enfant, son regard se posa sur sa tenue avant qu’il ne parle : « Évacuez les civils, nous nous occupons des bêtes. » Rapidement, d’autres membres de entrèrent survolant la salle à l’aide d’hoverboard, attaquant les dranguillas qui faisaient de temps en temps surface.
Mortimer, Jean-Didier et Ivan furent aidés par l’un d’eux, qui les escaliers vers la sortie. Au même moment, un autre soldat s’approcha de Narcisse et Toni afin de les éloigner de la vitre fissurée, les dirigeant également vers les équipes en charge des évacuations. « Nous sommes ici pour assurer votre sécurité, ne courez pas et avancez le plus calmement possible. Des équipes sont à l’extérieur pour vous aider et pour vous mettre en lieu sûr. »
L’eau ne cessait nullement de monter, submergeant ce qui était auparavant un des plus beaux lieux de Procreatio. La majorité des civils étaient en train d’évacuer les lieux, paniqués par le bruit incessant de l’alarme. Personne ne voulait que les portes ne se ferment sur eux, alors tous se pressaient pour sortir.
Alors qu’Eirin s’apprêtait à se jeter à l’eau, l’enfant qu’elle cherchait s’agitait, effrayé par la bête qui venait vers eux. Il n’était pas loin, et avec quelques brasses, il n’aurait aucun mal à rejoindre les escaliers. Mais un gamin de dix ans face à un monstre pareil ne pouvait rester calme, et n’arrivait pas à nager correctement, le ralentissant grandement. Alors que tout semblait perdu pour lui, le son assourdissant d’un tir pourfendit l’air.
Un homme, habillé d’une combinaison, venait de tirer sur le dranguilla, la bête blessée s’enfonça dans les eaux, laissant le temps aux soldats de récupérer l’enfant et Eirin. Une fois à terre, il lui laissa l’enfant, son regard se posa sur sa tenue avant qu’il ne parle : « Évacuez les civils, nous nous occupons des bêtes. » Rapidement, d’autres membres de entrèrent survolant la salle à l’aide d’hoverboard, attaquant les dranguillas qui faisaient de temps en temps surface.
Mortimer, Jean-Didier et Ivan furent aidés par l’un d’eux, qui les escaliers vers la sortie. Au même moment, un autre soldat s’approcha de Narcisse et Toni afin de les éloigner de la vitre fissurée, les dirigeant également vers les équipes en charge des évacuations. « Nous sommes ici pour assurer votre sécurité, ne courez pas et avancez le plus calmement possible. Des équipes sont à l’extérieur pour vous aider et pour vous mettre en lieu sûr. »
HRP :
- Des soldats sauve Eirin et blesse le monstre, trouve l’enfant et ramène les deux dans les escaliers. Ordonne à Eirin d’évacuer le reste des civils avec eux.
- Les Forces Spéciales protègent les civils et aident Mortimer, Jean-Didier et Ivan à monter.
- Un soldat aide Narcisse et Toni, leur indique la sortie et se met face à la vitre fragilisée pour ne pas qu’elle ne cède tout de suite.
- Les civils sont évacués.
- Vous avez jusqu’à vendredi 21 octobre, 23h59 pour répondre.
- L’évent se passe le 23 septembre 578 en début d’après-midi.
- Cela fait plusieurs heures que l'aquarium est ouvert au public.
- 500 mots maximum par RP.
- Les Forces Spéciales protègent les civils et aident Mortimer, Jean-Didier et Ivan à monter.
- Un soldat aide Narcisse et Toni, leur indique la sortie et se met face à la vitre fragilisée pour ne pas qu’elle ne cède tout de suite.
- Les civils sont évacués.
- Vous avez jusqu’à vendredi 21 octobre, 23h59 pour répondre.
- L’évent se passe le 23 septembre 578 en début d’après-midi.
- Cela fait plusieurs heures que l'aquarium est ouvert au public.
- 500 mots maximum par RP.
Razzmatazz
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Prénom Nom (La Société) : Opale Duclos
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Âge : 18 ans
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Pronoms : Elle/Elle
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Résidence : Résidences Fendi
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Occupation : Etudiante en Sciences de l'Ingénieur
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Idéologie : Hypnos
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Messages : 20
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Nectars : 38
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Opale était là.
Manque de chance, ses parents aussi.
Elle qui adorait UNITY n'avait évidemment pas rouspété à la proposition de s'y rendre qu'avaient émise ses parents. Une occasion de s'amuser pour l'une (et de découvrir l'aquarium), une opportunité de briller en société pour les autres - puisque forcément, les gens importants devaient s'y rendre.
Sagement à côté de ses surveillants attitrés (comprendre : ses parents qui ne la laisseraient évidemment pas courir après des animaux imaginaires), elle ne put s'empêcher de pouffer en voyant un gars apparemment apprenti ninja essayer d'attraper les bestioles avec sa ceinture.
(une micro fissure autour du masque ?)
Puis de se figer de terreur lorsque la catastrophe arriva.
L'instinct - ou l'envie - de survie, il faut avouer qu'elle ne l'avait pas trop.
Son père tenta de l'entraîner avec lui mais ils furent séparés par la foule, bien trop paniquée pour faire preuve de politesse.
Devenue un obstacle bien gênant pour qui souhaitait vivre, elle finit poussée sur le côté, s'effondra, n'osa plus bouger de peur d'être piétinée. Autant la mort, elle ne pensait pas la craindre tant que ça. Autant la douleur, c'était une autre histoire.
Trempée, elle se releva lorsque le flux se tarit un peu et suivit machinalement le mouvement, trop hébétée pour penser.
Elle croisa une jeune femme allant en sens inverse, ce qui la sorti de son état de choc.
« Pourquoi... ?? »
Elle allait vers l'enfer. Un geste fou qui pourtant intrigua Opale. Un geste qui allait à l'encontre de tout bon sens.
Opale la suivit.
Pourquoi ?
(pourquoi pas ?)
La femme avait probablement une bonne raison de revenir sur ses pas, elle aurait certainement besoin d'aide ?
Mais soyons honnête, Opale faisait ça pour elle-même. Un petit geste de rébellion peut-être. Une grande provocation sûrement. Envers ses parents, son quotidien, sa vie. En la risquant, finirait-elle par avoir le déclic nécessaire pour s'envoler ?
Alors qu'elle rejoignait l'étrange femme, elle aperçut au loin un gamin dans l'eau. Elle comprit. Elle le pointa du doigt.
« Il est là-bas ! »
Mais la bête aussi.
Heureusement, peu après, un tir salvateur retentit, éloignant d'un coup le danger. Opale lança un coup d'œil rassuré à son acolyte de fortune, plus soulagée pour cette dernière que pour elle-même.
Un peu déçue que tout s'arrête si vite.
Finie, la récréation.
Bonjour, les darons.
Qui, les yeux rouges, la prirent dans leurs bras. Oubliant pour une fois les apparences.
Et, pour une fois, elle se sentit aimée.
La journée n'avait finalement pas été si mauvaise que ça.
Somnium
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Prénom Nom (La Société) : Eirin Reede
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Eirin Reede
Âge : 31
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Pronoms : Elle/Elle
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Résidence : Stark
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23/09 - Aquarium de Procreatio
Alors que je me dirigeais à contre courant, bien décidée à trouver l’enfant de la mère affolée, j’avais noté, en esquivant les derniers retardataires fonçant vers la sortie, qu’une jeune fille me suivait. Soit elle était suicidaire, soit elle avait un très, très mauvais instinct de survie. L’un comme l’autre ne semblait pas être une bonne chose. N’ayant pas le temps de la raccompagner, je fis marcher mon cerveau à mille à l’heure, essayant de trouver le meilleur moyen de s’occuper de ça en plus de ramener le gosse à sa mère. Sans m’arrêter, et en haussant le ton de sorte à ce qu’elle puisse m’entendre, je l’informais de la situation.
« Si tu veux jouer à l’héroïne, reste hors de l’eau et essaie de voir si tu ne vois pas un petit garçon. »
Je lui fis un résumé très succin avec les caractéristiques notables du fils perdu pendant que je cherchais principalement des palmes, et peut-être une bouteille d’oxygène si je devais rester sous l’eau plus d’une minute ou deux. Très vite, la voix de la stagiaire héroïne se fit entendre à nouveau dans une exclamation agrémentée d’un indice. Ma tête se tourna là où son doigt pointait pour effectivement apercevoir l’enfant se débattant en panique, fort heureusement non loin de là. Hochant la tête en guise d’approbation vers ma partenaire d’infortune, je repris la parole.
« Bien joué. Commence à remon-... »
Et puis tout à coup, un son déchirant se fit entendre. Un coup de feu. Mais qui est assez con pour … Et je me raidis. Les Forces Spéciales. Aucune idée du type de munitions qu’ils venaient d’utiliser, mais cela semblait efficace. Un soldat me ramena l’enfant et m’ordonna de faire exactement ce que je faisais jusqu’ici, c’est-à-dire mon boulot. Grinçant des dents sans répliquer, je me mis à porter le gamin dans mes bras, avant d’invectiver la jeune demoiselle.
« T’as entendu le type. On remonte. »
M’assurant qu’elle suivait le pas, nous remontions jusqu’à la surface. La mère affolée était toujours là, et fondit en larmes en me voyant ramener son fils. Les deux se mirent à pleurer, des « Merci » gargouillés se mélangeant à leur soulagement. Un léger sourire apparut sur mes lèvres.
« Remerciez surtout cette jeune fille. C’est elle qui l’a repéré. J’ai juste fait mon travail. »
Pointant d’un geste du pouce la suicidaire non loin de moi, envers laquelle je hochais de nouveau la tête en signe d’approbation, je tournais finalement la tête vers l’aquarium. Cette attaque n’aurait jamais dû se produire. Et pourtant … Qu’allait-il se passer maintenant ? Quand les Forces Spéciales rejoignent la partie, il y a bien souvent des raisons cachées, et cela ne me plaisait pas. Mais alors pas du tout.
HRP : Grâce à l'aide d'Opale, Eirin s'apprête à aller chercher le garçon perdu avant que les Forces Spéciales n'interviennent. Elle remonte conformément aux ordres pour évacuer Opale et l'enfant, qu'elle rend à sa mère tout en validant l'effort méritoire d'Opale auprès d'elle. Elle se demande pourquoi les Forces Spéciales sont arrivées, notamment aussi vite.
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