Titi
Titi
Fiche : 
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SNS : 
Icône (130x130) : 
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Prénom Nom (La Société) : Theo T. Kelly
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Theo T. Kelly
Âge : 21
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21
Pronoms : Il/Lui
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Il/Lui
Occupation : Serveur
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Serveur
Idéologie : Hypnos
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Hypnos
Messages : 10
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10
Nectars : 41
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41
I'd leave if you let me
⋅ As you wind through the streets at the fabled bazaars with the cardamom-cluttered stalls you can smell every spice while you haggle the price of the silks and the satin shawls
Tu détestes le souk. Tu peux même aller plus loin : tu le hais, tu l'exècres. Les couleurs font papillonnent tes paupières, les odeurs agressent tes narines, les hurlements violent tes tympans. Ta peau est trop moite, la chaleur t'assomme. Trop de gens. Trop, trop, trop. T'en deviendrais presque agoraphobe, t'as l'impression d'être claustrophobe.Une inspiration, et deux, et trois. Et t'en peux déjà plus, et tu veux partir, t'enfuir, et si Toni s'était pas écroulé derrière le comptoir, et que t'avais pas du le monter dans sa chambre, tu l'aurais laissé se débrouiller tout seul. Parce que t'en as marre de faire son taff. Non. Non c'est faux, Théo, t'en as pas marre, c'est juste que t'es pas doué pour ça, parler aux gens, jouer du bagou, parler, papoter. T'aimes pas ça, tu préfères quand tout est fait, tout est prêt, quand tout se passe comme ça le devrait.
L'inconnu te terrifie, ici.
Dans cette ville que tu connais par cœur, et qui pourtant, t'angoisse à chaque détour de ruelle.
C'est pas ta faute.
Tu évites le plus de gens possibles, grimaces quand un marchand crie trop proche de ton oreille. Tu sais plus trop ce que t'as marmonné Toni, mais tu sais très bien ce qu'il manque dans la réserve, et t'as revérifié le cahier avant de partir, avec cette écriture incompréhensible, tu sais même pas comment t'arrives à la déchiffrer.
Y'a trop de monde. Tu bouscules quelques personnes, t'excuses d'un signe de tête, d'une parole rapide avant de repartir et enfin, enfin tu reconnais le marchand duquel vous attendiez des nouvelles depuis la veille.
Discussion, et discussion, et minute après minute, te voilà avec une caisse pleine trop lourde dans les bras. Et alors que tu repars, tu maudis peut-être un peu Toni.
hrp : j'espère que ça iraaaa, le titre c'est du halsey, parce que je suis dans ma période et genre, la citation, on est parti sur du bon gros disney, parce que disney c'est la vie. jtm j'espère que ça t'ira <333
Chronos
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Fiche :
Icône (130x130) : 
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Prénom Nom (La Société) : Lance Eterfeal
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Lance Eterfeal
Âge : 25
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25
Pronoms : Il/Lui
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Il/Lui
Occupation : Serveur
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Serveur
Idéologie : Atlas
Idéologie :
Atlas
Messages : 45
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Nectars : 164
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164
Si les voyages forment la jeunesse, Lance pourrait se vanter d’avoir parcouru les plus grandes villes de la Société - en surface, du moins. Il les avait visité chacune, avait essayé de se familiariser avec chaque population et avait constaté les avantages, comme les inconvénients, des différents climats.
A une époque où la technologie facilitait grandement les déplacements, ça n’avait cependant rien d’exceptionnel.
Origo lui laissait des souvenirs aux émotions mitigées. Le désert, plus particulièrement, ne lui avait fait entrevoir que la misère et le désespoir des plus démunis, soumis à sa sécheresse aride. C’était eux, à l’époque, qui lui avaient ouvert les yeux sur sa naïveté d’antan. Il n’avait soupçonné les conditions de vie des plus pauvres, avant de réaliser que chacun en souffrait, quelque soit leur ville d’origine.
Outre cet état de fait, le N°1 disposait de ses charmes. Le dôme laissait le jeune homme admiratif, mais il ne s’agissait pas de l’endroit qu’il préférait ; non, Lance se sentait plus à l’aise dans la Zone. Là où toutes classes sociales se mélangeaient et où l’on découvrait plus authentiquement leur mode de vie.
C’était une raison particulière qui l’amenait justement, aujourd’hui. Il avait découvert des recettes traditionnelles, lors de ses précédentes visites et il n’y avait qu’ici qu’il en trouvait certains ingrédients.
Quoi de mieux que le Souk pour dénicher ce dont il avait besoin ?
Sans être parfaitement serein au milieu d’une foule qui éveillerait les anxiétés sociales de n’importe quelle personne y étant sujette, le serveur parvenait à apprécier l’ambiance qui s’en dégageait. Il y avait ce côté accueillant et encourageant des marchands, suscitant l’intérêt pour leurs étales. Le mélange des odeurs et des objets qui attirent l'œil. Le tout donnait à Lance la sensation de retomber en enfance, à s’émerveiller de la moindre chose.
C’est certainement ce qui lui valu d’être bousculé par une caisse.
La caisse, bien sûr, ne se déplaçait pas seule. Seulement, elle était si grande qu’on distinguait à peine l’homme la portant à bout de bras.
Excusez-moi ! Je ne vous avez pas vu, s’alarma aussitôt Lance, considérant que c’était à lui de céder le passage à quelqu’un d’aussi chargé. Je peux peut-être vous aider ? proposa-t-il alors, naturellement.
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