{"title":"wretched weaponry — éphémère","society_names":"jubilee eugénie eyler","society_age":"28","society_birthdate":"03/02/549","society_location":"n°4, résidence spellman","society_gender":"femme cisgenre","society_pronouns_1":"elle / elle","society_orientation":"pansexuelle","society_money_status":"modeste","society_job":"psychologue médico-légale","society_council":"non","society_group":"Atlas","society_circle":"Aucun","society_feat":"asuka langley soryu (evangelion)","society_icon":"url(\"https://i.imgur.com/cQCFexD.jpg\")","society_banner":"url(\"https://i.imgur.com/8Np7qdk.gif\")","unity_name":"éphémère","unity_date":"18/12/556","unity_rank":"Utilisateur","unity_description":"éphémère, c'est un mythe.\nle visage rond, un teint pâle comme la neige de décembre. \nde longs cheveux blancs ondulés, virevoltant au gré du vent.\nune petite stature, comme si elle était restée un enfant. comme si elle avait fait pause afin d'éviter la fin. \ndes yeux clairs et laiteux, pas vides d'émotion pour autant. \n\néphémère, c'est un monstre.\nc'est la longue tenue noire descendant jusqu'à ses mollets, montée d'un col blanc à boutons.\nc'est les cheveux courts, avec seulement deux longues mèches rebondissant au gré des pas.\nc'est les yeux jaunes d'où coulent des larmes dorées.\n\néphémère, c'est une divinité.\nc'est le troisième oeil pas toujours ouvert sur son front.\nc'est le halo de lumière qui se forme derrière sa tête, brillant comme jamais.\nc'est les appendices sortant de son dos, des milliers d'yeux, des milliers de paumes.\n","unity_feat":"charlotte wiltshire (hello charlotte)","unity_icon":"url(\"https://i.imgur.com/e5RX6Wk.jpg\")","unity_banner":"url(\"https://i.imgur.com/3VUNo7S.gif\")","perso_personality":"\ncolérique › entêtée › vulgaire › rancunière › dramatique › irresponsable › autodestructrice › railleuse › ouverte › sincère › acharnée › obstinée › intense › théâtrale › lunatique › farouche › têtue › inconstante › caractérielle › instable › toxique › possessive › égoïste › sarcastique\n\nrien n'est jamais très joli avec toi. rien n'est jamais très stable quand tu es là. tes aigreurs brûlent et pourrissent, ta peau emportée dans le torrent de flammes. ta hargne détruit et embrase tes muqueuses, ton corps enroulé dans la discorde la plus absolue. \n\nl'amertume bouillonnant dans l'âme, tu affiches ta témérité, ta fierté et ta médisance au peuple avant de te faire jeter au trou. tu n'es que griffures sur tes pommettes et ton cou, doigts tenant fermement les joues. jusqu'à s'accrocher fermement, ne rien lâcher, jusqu'à les faire céder, jusqu'à les faire plier, fléchir. \n\njusqu'à les briser. \n\nen relâchant le tout, tu te rends compte que sans cette haine de toi et celle des autres, tu n'es rien. le néant. vide de tout, vide de rien. il ne reste que ce feu de camp, au milieu des ténèbres, animé par une colère qui vient par coups de vent. car, oui, ta colère acerbe, ta colère ronge ce qu'il reste du toi qui un jour rayonnait dans l'espace. c'est une colère à coup d'eau de javel sur le corps, brûlant jusqu'à ce qu'il n'en reste que des braises. ça t'épuise, presque, mais ton âme est robuste, droite, à défaut d'être une peste. ta fureur se concentre dans ton ventre, y tourne comme dans une machine à laver, puis tu craches tous ces pêchés un à un, morceau par morceau. prête à annihiler chaque malheureux dans ton sillage.\n\nincapable d'aimer correctement, tu t'accroches aux chevilles des pauvres âmes en peine pour t'y abreuver. incapable d'aimer sans y perdre un doigt. incapable de ressentir assez d'empathie pour comprendre les mots qui sortent de la bouche des hommes et des femmes présents devant toi. tu ne vois pas leurs désirs, uniquement les tiens, car tu devrais être une déité à leurs yeux. leur déité. tu répètes les mêmes plates excuses pour qu'ils restent auprès de toi, car sans eux, tu serais happée dans ton propre monde de piques et de torches. sans eux tu ne serais plus rien. alors tu répètes inlassablement des excuses désespérées. tu recommenceras alors les mêmes fautes. comme toujours, incapable d'apprendre.\n\ntoutes tes émotions, tu les ressens au plus profond de ton coeur, à tourner jusqu'à donner l'envie de vomir. elles s'entassent, pile de linge sur carreaux froids. il faut que tu t'extériorises, avant d'imploser. avant d'exploser en un million de fragments d'étoiles. alors tu te coupes les paumes, tu t'éclates le front. tu mords, tu déchiquètes, tu déchires. jusqu'à ce que le rouge aille bien avec ta couleur de cheveux. jusqu'à ce que tu retrouves un semblant de sourire. jusqu'à ce que tu sois toi, aussi corrosive que tu es.\n\n","perso_facts_yn":"Oui","perso_facts":"trop douée sur les jeux de danse et de rythme ✚ elle vous mettra la pâtée ✚ ne fait pas attention à son timbre de voix et va vous trouer les tympans ✚ language fleuri ✚ troisième doigt facile ✚ donne des surnoms ridicules à tout le monde ✚ vraiment tout le monde ✚ cauchemars et rêves assez réalistes ✚ somnambule ✚ s'est une fois retrouvée au beau milieu de la route en pyjama ✚ rire très communicatif ✚ baille très bruyamment ✚ déteste le silence ✚ perd constamment ses affaires ✚ estj ✚ 3w4 ✚ enlève la peau autour de ses doigts jusqu'à saigner ✚ arrive à oublier ses fonctions les plus vitales comme boire et manger ✚ surtout ne lui parlez pas avant son café du matin ✚ tu peux l'acheter avec des sucreries ✚ roule toujours des yeux ✚ n'a aucun respect pour ses supérieurs (si elle en a cela dit) ✚ analyse les saltimbanques que la police amène, en fait un rapport qu'elle mettra en place devant le juge ✚ aide aussi la police à trouver le criminel en proposant un profil type ✚ adore son travail ✚ adore analyser tout le monde, arrive à deviner si tu as des chiens en regardant ton pantalon ✚ à l'oeil pour les détails ✚ très bonne mémoire ✚ tête brûlée, fonce dans le tas un peu trop vite ✚ crises d'angoisse assez vnr ✚ se prend des cuites au vin ✚ la jubilee bourrée avoue son amour à tout le monde ✚ ne toque jamais avant d'entrer, entre en tailladant ta porte à coups de pieds ✚ délicatesse who ? ✚ s'écorche les genoux et les coudes ✚ a des vieilles cicatrices de brûlure ✚ se fait beaucoup de mal ✚ ne sait pas aimer sans être dépendante ✚ n'est pas une bonne personne ✚ met les besoins des autres au second plan ✚ tu dois t'occuper d'elle et d'elle seule, il n'y a pas la place pour tes problèmes","perso_story":"TW : suicide\n\nà une heure quelconque de la soirée, tu restes allongée maladroitement sur les tuiles du toit. les paupières à demie-closes, tu n'es pas sûre d'attraper l'immensité du monde, mais tu l'imagines ; les diffusions de rayleigh passant du doux bleu vert à un rouge de lever de soleil brûlant, des oiseaux manquant de brûler leurs ailes en volant devant le soleil, le bruit du vent qui tente de te démêler tes cheveux mal peignés, tes propres yeux bruns sans panache captivés par le monde qui se profilait dans les hauteurs du ciel. le ciel, tu l'observes maintenant, ignorant l'effet douloureux que les tuiles ont sur ton dos. un grand espace vide, point d'origine d'événements météorologiques, absence d'étage supérieur ou de plafond, tout simplement la donnée cartésienne z. le cosmos, lui, se cache bien derrière ce tapis d'une pâleur bleutée. de grosses boules de gaz en fusion qui se déplacent autour d'un même orbite sans jamais s'arrêter. minuscules points de lumière. lumineux éclat rouge à la bordure du monde s'estompant lentement. éclatant point rouge derrière l'horizon, des doigts de carmin qui pâlissent dans la noirceur bleutée.\n\nc'est l'été et tu essaies de cautériser tes plaies avec ton briquet, la douleur envoie les mauvais souvenirs au large. cependant les images s'installent sur ta rétine en bravant les vagues. tu revois le gala des lumières bleues et rouges sur le trottoir du haut de ta chambre. tu les avais appelé via ton navikit, serré entre tes mains moites. c'était l'été et tu voyais encore la figure raide de ta mère se balançant du haut d'une corde, chaise à terre, marre d'urine. quelque chose en toi a brûlé, comme les omoplates d'icare, comme les mains rocailleuses de prométhée. sa vie a été éphémère, comme une bougie qu'on allume à noël. en réalité, tout dans la vie est éphémère, toi aussi, tu l'es. comme une chanson, comme un rendez-vous. comme chaque saison. tout se stoppe, se fige dans le temps. impitoyable. ta vie aussi, sera courte, pétrifiée sur la fin. ton temps sur unity sera éphémère, lui aussi, bref comme l'instant présent.\n\nà une heure quelconque de la soirée, tu te pâmes devant le soleil disparaissant derrière l'horizon. les paupières closes, tu n'as pas envie de capter l'immensité du monde morne, mais parfois tu t'égards et tu l'imagines ; scénario post-apocalyptique avec le rouge sang du ciel qui teint chaque nuage de sa couleur menaçante. sentiments scientifiques, souffles à demi-tons violents, pensées sans logiques. tes cheveux mal coiffés sont constamment emportés par le vent carnassier, tes yeux bleus sont apeurés par le ciel qui surplombe le monde à sa perte. tu aurais bien aimé trinquer à l'honneur du monde en décrépitude. le ciel est un grand espace rempli de cette couleur annonciatrice de désastre ; le rouge est la couleur de l'avertissement ; panneaux, lumières bâbord sur les navires, feux de circulation. le rouge est la couleur du sang, qui est, d'une certaine façon, un autre type d'avertissement : arrête, tu es allé trop loin, coupé la peau, brisé un corps. tu aurais aimé qu'un étage ou un plafond te sépare du ciel.\n\nc'est l'été, et tu te rappelles de tous ceux que tu as aimé. aimé si fort que tu perdis tout sens de l'intimité. tu aimais ta mère, et elle s'est envolée avant que tu ne puisses lui montrer tout l'amour que tu avais pour elle. tu as aimé ton père, et il a pris le large avant que tu ne puisses t'accrocher à ses jambes pour l'empêcher de s'en aller. tu as aimé un premier garçon, et tu l'as laissé aller voir ailleurs, tu n'étais pas assez vigilante. alors quand tu as aimé cette première fille, tu te cramponnas à ses vêtements, et tu ne lui laissas aucun répit. tu buvais tous les mots doux qu'elle avait pour toi, et tu n'en dis aucun en retour. tu aimais, d'une telle mauvaise manière, tu les suppliais de rester, au moins pour toi, pour t'abreuver de ce béguin presque inexistant. et ce fut le cas avec toutes les autres relations que tu pus connaître. une quête désespérée de l'amour. un amour plein d'épines et, un amour dont on se repaît puis on le vomit. un amour faux, fébrile, balayé par le vent. tu ne connais aucun véritable amour, sain et incandescent. juste des plaintes et des crampes.\n\nà une heure quelconque de la soirée, le ciel s'est enveloppé d'un noir funéraire. les yeux ouverts ; l'immensité du monde n'a plus aucun secret pour toi ; scénario imaginaire à la mélodie saccadée, souffle apaisé, tu regardes le monde d'en bas. les lumières éclairent la ville comme des petits éclats d'espoir. tu pries dieu pour qu'il reconstruise ton esprit brisé avec de l'asphodèle. tu pries dieu pour aimer véritablement. tu pries dieu, si jamais il existe, et tu renverses toute la colère que tu as à l'encontre du monde qu'il a créé. une colère incandescente. une colère brûlant au fond de ta gorge.\n\n","player_pseudo":"stern","player_pronouns":"elle/iel","player_icon":"url(\"https://i.imgur.com/GCeREpK.jpg\")","player_description":"voici le dc de nébuleuse tchou tchou c'est parti","design_citation":"quand nous sommes seuls longtemps, nous peuplons le vide de fantômes.","design_icon1":"url(\"https://i.imgur.com/9gfn7XT.jpg\")","design_icon2":"url(\"https://i.imgur.com/78pqZdY.jpg\")","design_banner":"url(\"https://i.imgur.com/VmMXEJY.jpg\")"}