Invité
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- oups :
- g édité mon message au lieu de le citer HAHA je veux mourir mais pour résumer touya se pointe devant chez cassiopée avec un bouquet de fleurs et il a pas envie d'être là, voilà
Cassiopée
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Fiche : 
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SNS : 
Icône (130x130) : 
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Prénom Nom (La Société) : Circée von Ordelia
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Circée von Ordelia
Âge : 27 années
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Pronoms : Elle/Elle
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Elle/Elle
Résidence : faubourg - wagner
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faubourg - wagner
Occupation : Mannequin de la maison Olympe
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Idéologie : Themis
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Themis
Cercle : UNYvers
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UNYvers
Messages : 151
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Nectars : 501
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01.02.578
aurait-on pu croire qu'ouvrir la porte t'aurait fait redresser les joues pour aborder un énorme sourire comme tu savais si bien le faire en temps normal ; ce n'était guère le cas puisque après avoir mis l'oeil dans le judas, tu savais qui t'attendait derrière ; sans surprise aucune en ouvrant. t'appuyant nonchalamment au chambranle en croisant tes bras ; regardant de haut cet individu ; si d'aventure tu aurais pu éviter que ce ne soit lui, tu t'en serais bien passé. mais lae patron(ne) voulait surement qu'il s'excuse en personne, n'est-ce ? tu t'en serais bien passé.
cela ne remontant qu'à à peine quelques jours ; un malencontreux incident qui le forçait à réapparaitre à tes yeux : c'est que tu venais pour chercher commande pour un jour très spécial. un anniversaire qui te tenait à coeur et qui devait se réaliser ce premier février cinq cent soixante-dix-huit ; un très beau bouquet énorme signifiant beaucoup pour l'être aimé ; jusqu'à ce que maladresse s'arrange pour gâcher cela. si en plus, mauvaise foi et irrespect n'était pas intervenue, aurais-tu pu être clémente, mais non ; à la place, tu étais parti telle une furie en vociférant ; ayant ainsi appelée plus tard pour tes doléances. on t'avait écouté ; remercier ; excuser : et seulement tu avais pu convenir de cela si le bouquet pouvait être livré en temps et en heure.
reportant ton regard sur l'individu en face de toi ; il ne paraissait pas peiné de son attitude d'il y a quelques jours ; punition méritée, tu pouvais au moins le faire poireauter un peu en ne prenant nullement parole la première. si monsieur souhaitait pouvoir demeurer ; il devait mériter. oui, tu ne fis aucun commentaire sur sa tenue ; aucun commentaire sur sa presque avance ; aucun commentaire sur l'énorme et fabuleux bouquet qu'il tenait en main ; tu glissas juste tes doigts sur tes bras, doucement et calmement en ne haussant qu'un seul et unique sourcil.
dandine toi pour t'excuser ; repends toi de tes échecs ;
respecte-moi qui ne tenais qu'à recevoir mon produit ;
et doit maintenant subir ton fiasco monumental.
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Elle ne dit rien, ce qui veut dire qu'il va devoir parler le premier. Il n'aime pas s'excuser, Touya, surtout quand il a l'impression de n'avoir rien fait de mal – faire des histoires pour un bouquet tombé par terre, c'est vraiment un truc de foutu bourgeois – mais la question n'est pas là. Le client est roi, ou plutôt, en l'occurrence, reine, et lui n'est qu'un pion. Alors c'est les pommettes empourprées de honte qu'il tend le bras, avec le somptueux bouquet de fleurs dans sa main comme offrande, pour implorer un pardon dont il ne veut pas, mais dont dépend son emploi.
Votre bouquet... mademoiselle von Ordelia. Pas besoin de payer ou quoi, c'est gratuit. C'est, um, une compensation. Pour l'autre jour.
Il n'en dit pas plus pour l'instant, et il ne la regarde toujours pas dans les yeux. Touya est tout sauf à l'aise, et il veut juste que cette conversation se termine au plus vite pour qu'il puisse retourner faire son boulot en oubliant ce moment à tout jamais.
Cassiopée
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01.02.578
cela aurait pu être satisfaisant à souhait ; presque outrageusement insultant de savourer l'instant présent ; tu n'avais juste que de l'agacement sous-jacent face à cet individu. la maladresse n'est que pêchée de l'homme rêveur ou incertain ; de ses pas, de sa vue et toute autre préoccupation qui ne le rendrait pas alerte : mais plus que tout autre était l'indifférence générale de l'acte commis. comme si ce n'était rien ; qu'un simple bouquet de fleurs, que les excuses n'existaient pas. qu'on soit pleutre ou gueux ; riche ou barbare, manifestement déscolarisé ou immensément pourvu de capacités intellectuelles : commettre une faute et s'excuser est la moindre des politesses.
mais plus que tout sont les paroles qui suivirent le regard baissé ; tu n'y croyais qu'à moitié : il t'avait bien fixé la première fois en te regardant te plaindre sans n'émettre rien : ni parole ni geste. tu n'y croyais pas et tu ne comptais pas sur la charité du propriétaire ; tu comptais le payer ce bouquet : tu en avais besoin et l'utilité. l'anniversaire de ta grande soeur étant ce jour, au moins le bouquet serait-il bien frais ; merveilleux entre ses doigts qu'il te tendit.
tu n'esquissas pas un seul geste. tu ne prévoyais pas dans l'immédiat de le laisser repartir comme si tout s'était bien passé : tord qu'il avait effectué, il devrait le rembourser. tu ne fis qu'un glissement de tête sur ton épaule ; ta voix d'apparence calme mais aucun sourire sur ton visage si habituellement habitué à en recevoir et. ? attendant les excuses ; les mots, ceux qui t'adouciront un tant soit peu à son égard. sans jamais oublier l'insulte ; mais y faire fi : ne comptant pas y retourner, jamais.
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Sauf que ça ne suffit pas – il faut croire que le manque de conviction dans sa voix était flagrant, car ses paroles s'envolent et semblent n'avoir aucun effet sur Circée, qui lui adresse en guise de réponse une seule syllabe laissant sous-entendre qu'elle n'est pas satisfaite des mots pourtant si soigneusement choisis. Elle ne prend même pas le bouquet somptueux qu'il lui tend. Touya redresse la tête, interloqué. Ce n'est pas une éventualité qu'il avait prévue, et pendant deux secondes, il reste juste là, à la fixer en s'imaginant lui faire manger son fichu bouquet de fleurs.
Une très, très mauvaise idée, que Touya ne met pas à exécution, pour une fois. Il ne s'énerve pas non plus, au prix d'un bel effort de sang-froid, parce qu'il tient vraiment à son job, et il ne va pas laisser une idiotie comme ça tout gâcher. Ce sont des excuses qu'elle veut ? Elle les aura. Même si ça lui arrache la bouche de les prononcer.
Et, commence-t-il, lentement, à deux doigts de grincer des dents, je suis désolé. Et puis, après un instant de réflexion, il ajoute pour faire bonne mesure : Désolé... d'avoir fait tomber votre bouquet. Et de vous avoir insultée. C'était pas correct de ma part. Ça s'reproduira pas, promis.
Cette fois, il a bien regardé Circée dans les yeux en parlant, et même s'il manque encore à ses mots un accent de sincérité, au moins il y a du progrès sur la forme. Il tend un peu plus le bras pour l'inciter à accepter les fleurs et les excuses, presque désespérément.
Cassiopée
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01.02.578
chiant est un mot qui aurait pu être écrit et décrit pour toi ; chiant est un mot qui est fort synonyme de circée quand elle sourit ; quand elle enquiquine le monde de quelques manières anodines. chiant n'est pas le mot que tu aurais utilisé en ce jour pour te définir : bourreau aurait été mieux et plus descriptif de ta personne ; c'est qu'en ce jour, tu n'allais point être compréhensive d'autrui. tu aurais pu simplement hocher la tête et laisser couleur ; faire ta petite vie hors du chemin de l'individu qui se tenait en face de toi ; tu ne le fis pas, nullement. jusqu'à entendre ses paroles, ses gestes ; ses pupilles. Les mêmes qui te fixaient quelques jours plus tôt quand tu avais émis que c'était parfaitement grossier de ne pas s'excuser ; les mêmes qui te jugeaient ouvertement, pour un peu de haut en bas.
tu accrochas les tiennes aux siennes ; sans détourner le regard, sans décroiser les bras, le faisant patienter. tu hésitais encore sur ce que tu comptais faire : prendre le bouquet, payer et le laisser s'en aller ; ou bien le tourmenter encore un tant soit peu avant d'acquérir ce qui te revenait. fixant sans mot dire le magnifique bouquet de lys ; partant d'un rouge profond à un blanc éclatant, agrémenté de touches de petites perles ou de feuilles magnifiquement vertes. le propriétaire a fait de son mieux pour rendre ça absolument délicieux ; voyant même une carte, sans aucun doute de voeux ; entre les plis et repris des pétales ; charmante attention. tu lui avais bien entendu expliquer le pourquoi du comment tu souhaitais ce bouquet ; il avait bien pris en compte ton avis et c'était tout simplement satisfaisant.
ne put que lâcher un petit il est magnifique ... point l'individu en face de toi mais bien ce qu'il tenait, te replaçant simplement sur le chambranle pour ne pas souffrir ; éviter les traces de portes sur les épaules ou les bras ; ne pas faire mine de le prendre. vouloir simplement faire impatienter le livreur ; ayant écouté ses excuses, bien sûr ; mais ne pas encore pardonner.
Invité
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Rien du tout, à part une remarque sur l'apparence du bouquet de fleurs – et même s'il est d'accord (bien sûr qu'il est magnifique, c'est le patron qui l'a composé lui-même, tous ses bouquets sont magnifiques) le fait que Circée décide de discuter plutôt que de conclure enfin cette pénible transaction ne fait qu'agacer Touya encore plus. Il serre la mâchoire, tendu.
Ouais, hein ? Et il est pour vous, enfin, pour votre sœur ou j'sais pas quoi, donc si vous pouviez le prendre, ça serait vraiment bien.
Un regard insistant, pour bien lui signifier qu'il ne va pas poireauter ici pendant trois plombes. Au diable les conséquences, si elle continue de le faire patienter pour rien, Touya songe sérieusement à lui balancer son bouquet de fleurs à la figure – volontairement, cette fois – et s'en aller sans se retourner.
Ah, mais, c'est vrai, il oubliait. La politesse. C'est important, il paraît.
... s'il vous plaît.
Et il esquisse un sourire crispé qui tient plus du rictus qu'autre chose, le genre de sourire qui ferait faire des cauchemars à un enfant de trois ans et qui laisse planer le doute quant aux réelles intentions de Touya, quelque part entre une tentative sincère de paraître amicale et des envies meurtrières à peine dissimulées. Finalement, son état d'esprit est un mix entre les deux, donc ça semble plutôt représentatif.
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01.02.578
tu avais déjà préparé soigneusement ta petite revanche et c'est donc sans surprise que tu levas un seul de tes doigts quand ta sonnerie retentit ; partant d'un pas presque tranquille jusqu'à ton navikit avant de revenir à la porte ; hochant la tête et répondant à cette voix que tu connaissais avant de mettre le haut-parleur pour qu'il puisse l'entendre. son patron lui demandant de revenir pour prendre un autre des bouquets que tu avais commandé et qu'il venait juste de terminer ; et qu'il te fallait dans l'heure. parce que tu étais occupée ; parce que c'était important ; parce que c'était la moindre des choses.
une toute petite revanche car cela signifiait qu'il allait devoir revenir ; une toute petite revanche car cela signifiait qu'il allait devoir refaire le chemin en sens inverse ; tu fermes ton cher navikit avant de reprendre ton sourire et de prendre sans tarder le bouquet dans ses mains. la senteur, la fraicheur ; te faisant énormément de bien au moral ; et surtout que tu te doutais que cela ne plairait nullement à la personne juste devant toi de devoir revenir.
tu pousses même le bouchon plus loin en le remerciant chaleureusement merci de vous être déplacé ; bon retour et à bientôt ! n'attend même pas de connaitre son avis ; n'attend même pas de savoir ce qu'il ferait ; n'attend rien du tout et fermes précipitamment la porte derrière toi. ton sourire et ta petite danse de la joie et pour seul témoin : rien et rien que toi ; et cette petite joie méchante de savoir qu'il allait encore avoir du travail ; et cette petite joie méchante de te dire que s'il avait été sympathique de prime abord, tu n'aurais pas eu cette toute petite rancune.
désolé.
ou pas.
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