{"title":"miroir brisé | vega","society_names":"Noah Alves","society_age":"23","society_birthdate":"30/06/554","society_location":"n°4 (continuatio), résidences gotham","society_gender":"masculin","society_pronouns_0":"il / lui","society_orientation":"tout ce qui est gentil","society_money_status":"pas ouf","society_job":"barman à la discothèque","society_council":"non","society_group":"Nemesis","society_circle":"Aucun","society_feat":"Thorns (Arknights)","society_icon":"url(\"https://i.imgur.com/yYcF0qF.png\")","society_banner":"url(\"https://i.imgur.com/IvELdR3.png\")","unity_name":"Vega","unity_date":"578","unity_rank":"Utilisateur","unity_description":"une douceur angoissée qui ne se sent étrangement pas à sa place. \nfin, agile et élancé comme l'a toujours été son esprit. \nterrifié d'être reconnu, alors complètement changé, jusqu'à la pointe des cheveux, parce que le rose est une couleur qu'il a toujours appréciée.\ndes bandages aux mains parce qu'il a toujours eu mal lorsqu'il utilisait ses poings.","unity_feat":"Lilium White (Countdown To Countdown)","unity_icon":"url(\"https://i.imgur.com/1xW3Fnd.png\")","unity_banner":"url(\"https://i.imgur.com/BPsaB7Y.png\")","perso_personality":"Des yeux ambrés qui vous transpercent, pas par leur intelligence, mais par cette candeur étrange, dissonante, avec ses actes portés par une logique qu'il a avalée, recrachée, réingurgitée. \n\nNoah, c'est une bonne humeur. Une joie de vivre qui détonne avec l'environnement dans lequel il a grandi, mais c'est une raison de plus pour qu'on l'aime. Parce qu'il fait sourire ses parents, faire rire ses voisins, apporte un parfum d'ailleurs au milieu des repas parfois moroses. \n\nC'est aussi une énergie incroyable, un besoin d'être en mouvement, toujours, d'aller d'une personne à une autre, de sauter d'un sujet à l'autre, perdre le fil de la conversation mais finir par le retrouver par pur hasard. C'est la nécessité d'emmener tous les matins Médor en promenade pour courir, trente minutes, une heure, qu'importe tant que les poumons souffrent et que le vent de la course rafraîchit le front humide. \n\nC'est un altruisme qui est apprécié, dans la Favela. C'est des sourires, des mains tendues, des services rendus. C'est la viande laissée au chien lorsque celui-ci n'avait rien. C'est les pitreries orchestrées ou improvisées pour redonner le sourire, pour sécher les larmes. C'est la couverture que l'on donne lorsque les nuits sont trop froides. C'est s'oublier soi, dans la misère et la colère. \n\nC'est des maladresses de langage et de gestes, ça trébuche sur les mots et le béton. Il s'embrouille dans ses pensées, s'emmêle les pieds, finit par se taire et s'immobiliser, le visage écarlate. C'est la logique d'une étrangeté improbable, lui faisant faire des liens entre des choses qui n'ont rien en commun. \n\nNoah, c'est aussi l'échec. L'échec scolaire, la perte de substance intellectuelle ou peut-être son absence initiale. Parce que l'envie manquait. Parce que l'idéologie empêchait tout raisonnement logique. Parce qu'il y a des gens qui ne sont juste pas faits pour ça. Alors les mathématiques, les langues, la géographie et l'histoire, tout ça, ça n'a jamais été maîtrisé. L'esprit critique est passé à la trappe aussi, son cerveau malaxé et modelé de façon à servir la cause, à ne pas s'éloigner du chemin des Némésis. Il a appris à écouter, pas à réfléchir par lui-même. Alors racontez lui des salades, il ne pourra que vous remercier en les avalant sans sourciller - à condition que ça ne soit pas une atteinte directe à son idéologie. \n\nSon idéologie, ou plutôt, celle de ses parents. Fils unique, le seul à recevoir cette double ration de pensées, cette double raison d'haïr toujours plus intensément ce système inéquitable. Alors Noah, c'est la colère, le besoin de destruction, les poings qui fendent l'air, les explosions qui laissent placent à une pluie d'éclats de verre. Noah, c'est le militantisme dès le plus jeune âge, c'est la rébellion contre un conseil qui ne semble pas se soucier des défavorisés, c'est le cri du cœur devant une situation qui ne fait que durer. C'est la violence qui se croit nécessaire, la fébrilité d'une lutte qui réchauffe les corps et les préjugés toxiques qui n'épargnent personne. \n\nAu final, Noah, c'est la survie, savoir se débrouiller avec peu, se satisfaire de rien. C'est l'amour de la famille, la loyauté indéfectible, le besoin d'apporter quelque chose à sa communauté. C'est cette affection aveugle qu'il n'a jamais questionnée, qui le fait avancer à l'envers, qui le bride mais exploite ses talents. C'est la certitude de faire quelque chose de bien en faisant quelque chose de mal, et se flageller en pensant avoir fait une mauvaise chose alors que ce n'était que vivre. \n\nAlors Vega, c'est \nla liberté douloureuse, \nla honte impossible à dissimuler,\net l'émerveillement amer d'un enfant qui ouvre les yeux pour la première fois sur un monde qu'on lui a toujours interdit. ","perso_facts_yn":"Oui","perso_facts":"1m70 de stupidité - peut vous écouter déblatérer des heures avec des étoiles dans les yeux - s'arrête dans la rue pour faire coucou aux bébés et caresser les animaux - n'a pas de choses préférées parce que ne sait pas choisir et aime tout - sait comment se faire une arme à partir de rien mais ne connaît pas ses tables de multiplication - ne connaît rien du monde mais en même temps est calé sur des sujets random - aime tout ce qui est sucré - a recueilli un chien errant malgré l'opposition de sa famille et l'a appelé Médor - c'est un golden retriever genre glace vanille sans doute plus intelligent que son maître - ne sait pas cuisiner - mais adore manger - a eu son poste à la discothèque grâce à un ami - a payé sa formation de sa poche - autodidacte en guitare, avec un instrument qu'il a troqué contre de la nourriture - en vrai il est giga radical - a appris à détester les riches et le conseil - a participé à beaucoup de manifestations violentes - est un condensé de préjugés dont l'illusion se fissure à chaque nouveau client - n'a jamais tué et n'a pas assez de cran pour ça - mais sait se défendre - frappe avec ses poings et joue au gros dur après mais la vérité il a juste envie de chialer à cause de la douleur - ne sait pas ce qui est mal et ce qui est bien final - ne sait pas réfléchir - gros pigeon - cracherait sur un riche qui passerait par là sans même y réfléchir à deux fois - et ne saurait pas comment faire face aux conséquences de ses actes - mais aurait une anecdote à raconter - maladroit comme pas possible - s'emmêle les pieds dans le vide et se pète le nez en deux secondes chrono - ne sait pas parler aux filles - ne sait pas parler aux garçons non plus - incroyablement nul pour flirter volontairement - mais pourra vous charmer sans faire exprès ","perso_story":"N o a h, \nUn prénom qui s'ouvre en bouche comme une fleur qui s'épanouit au milieu des ronces et du ravage des hommes. Noah, c'est un petit gars qui a été nourri d'idéologies extrêmes, bercé par des paroles de haine contre la haute technologie, éduqué par des discours forts sur la nécessité de subvenir aux besoins des populations défavorisées au lieu de toujours, toujours donner plus aux fortunés.\n\nIl n'a jamais rien connu d'autre que ces réunions entre les différentes familles du quartier. Les disputes entre celles qui ne voulaient rien faire, et celles qui voulaient que tout ça change. Il suivait les paroles dont le ton gonflait, enflait, explosait enfin dans une myriade terrifiante, reflétée dans ses grands yeux ambrés. \n\nAlors, depuis tout petit, il a appris à détester UNITY, se retrouvait au milieu de ses camarades, dégoûté par le monde qui l'entourait, dégoûté par ces gens qui semblaient si heureux d'être là. Alors il n'a jamais cessé de faire du grabuge, bâclant son travail, ne s'entendant pas avec ses camarades. Son esprit, trop malléable, frappé de sermons chaque matin, chaque midi et chaque soir, telle une enclume ajustée parfaitement au marteau manié par ses parents. \n\nA 16 ans, enfin, UNITY était derrière lui. Le peu de connaissances qu'il avait acquis était selon lui inutile, alors au lieu de se soucier de son avenir personnel, il pensait à sa communauté, et aux côtés de ses parents, il a commencé ses premières manifestations, une immersion rapide dans la violence portée par son groupe. Il se souvient l'injustice commune, la haine. La frustration, lorsqu'ils rentraient dans leur appartement trop petit, après avoir passé une journée dans les rues, à essayer de faire entendre leur voix. \nLa justice, il l'a connue. Deux ou trois fois, surtout parce qu'il ne courait pas assez vite pour échapper aux forces de l'ordre. Chanceux la première fois, il en est resté au commissariat et s'est vu puni d'une simple diminution des rations, pas de quoi le dissuader de continuer sa marche infernale vers un avenir qui ne voulait pas de lui. Puis ça a été un mois de travaux d'intérêt général. Enfin, deux mois. Après ça, il a appris à prendre les jambes à son cou plus rapidement. \n\nA côté de ça, Noah essayait de se faire de l'argent. Livreur, caissier, il était de ces petites mains qui travaillent d'arrache-pied pour gagner de quoi subsister en plus des rations alimentaires journalières. \nEt puis, il s'amusait, aussi. La discothèque, la salle d'arcade... il ne quittait jamais vraiment la Favela, mais s'en éloignait pour quelques heures, l'esprit à la dérive en s'imaginant être dans un endroit tout à fait différent, loin des bâtiments délabrés, loin de l'injustice sociale, loin de tout. \nC'est durant ces années qu'il a recueilli Médor, un golden retriever aux yeux emplis d'intelligence, au pelage crasseux ayant rapidement fini par reprendre le doré habituel après plusieurs bains forcés. Ce chien ferait tout pour son maître qui l'a d'abord nourri de restes de rations, puis de nourriture achetée avec le peu d'argent qu'il gagnait chaque fois. \n\nA 21 ans, il a fini par intégrer une formation de barman, très courte, mais qui lui a permis d'être embauché à la discothèque où l'un de ses amis barman l'a recommandé. Avant d'y être employé, il rencontrait déjà un nombre impressionnant de personnes à la discothèque. Cependant, en étant barman, il a l'occasion de discuter avec quasiment tous les individus qui venaient dans la salle où il travaille. Qui dit nombre exponentiel de clients, dit diversité. \n\nPortée par les discussions avec et entre les clients de la discothèque, la curiosité se faufile jusqu'à lui, une curiosité qu'il a en réalité toujours eue au fond de lui, toujours délaissée. Pourtant là, tout ce qui est raconté sur UNITY l'intrigue, vient embêter cette vilaine curiosité qui s'éveille, s'étire et sort les crocs. \n\nIl lui faut deux ans pour céder à la tentation. \nSon histoire ne fait que commencer...","player_pseudo":"Cassie","player_pronouns":"Elle/Elle","player_icon":"url(\"https://i.imgur.com/pSnXGQD.png\")","player_description":"OK BONJOUR j'ai été ramenée ici par Koyazon et Euphoria. désolée d'avance pour le temps que je vais mettre à finir cette fiche. (je devrais pas être là vu la quantité de cours que j'ai à ingurgiter PTDR BUT HERE WE ARE AJSLDKLDSK)","design_citation":"be careful not to drown","design_icon1":"url(\"https://i.imgur.com/9AZdOBT.png\")","design_icon2":"url(\"https://i.imgur.com/95DzVon.png\")","design_banner":"url(\"https://i.imgur.com/bx3Q484.png\")"}