{"title":"si le bateau coule, si le bateau sombre ; {tallula}","society_names":"Gazel El Samreen","society_age":"25","society_birthdate":"12 mars 554","society_location":"n4 continuatio, résidences spellman","society_gender":"féminin","society_pronouns_1":"elle / elle","society_orientation":"bisexuelle","society_money_status":"dans la moyenne, tu n'es certainement pas riche mais tu t'en sors comme tu peux","society_job":"infirmière a l'hopital de n4","society_council":"non","society_group":"Nemesis","society_circle":"Aucun","society_feat":"katara — avatar the last airbender","society_icon":"url(\"https://i.imgur.com/vP4jcRG.png\")","society_banner":"url(\"https://i.imgur.com/uynVDGT.png\")","unity_name":"tallula","unity_date":"26 avril 570","unity_rank":"Utilisateur","unity_description":"Tallula est jolie, mignonne. Tallula a les cheveux roses, elle est pas très grande non plus, et on pourrait la confondre avec une enfant si on ne fait pas attention. \nTallula a un grand sourire, cet air mesquin qui n'appartient qu'a elle, ces traits qui semblent encore enfantin. Le visage rond, les yeux rieurs.\nTallula a le corps fragile et qui semble maladroit a chacun de ses mouvements. Comme si elle ne faisait pas attention.\nTallula cache qui elle est vraiment, parce qu'au fond ce corps n'est pas vraiment le sien, ne l'a jamais été, ne le sera jamais. \nTallula s'habille bizarrement, elle aime le rose et les paillettes ; elle ne passe pas vraiment inaperçue. \n\nGazel déteste Tallula.","unity_feat":"princess bubblegum — adventure time","unity_icon":"url(\"https://i.imgur.com/5KEGFz4.png\")","unity_banner":"url(\"https://i.imgur.com/ZsTYrnN.png\")","perso_personality":"Gazel au fond elle est un peu perdue, constamment en train de se poser des questions. Elle sait pas vraiment quoi faire de sa vie, et même si elle cherche, se pose des questions encore et encore, elle est pas sure de trouver. Elle est gentille vous savez, juste... Perdue. Elle a l'impression d'en avoir trop vu, d'en avoir trop fait a son jeune âge. Elle essaye de faire de son mieux pour exister et aider un peu les autres, de quelques manières que ce soit. Parce qu'après tout c'est pas tous les jours facile, d'exister.\n\nAu fond Gazel, elle est surtout fatiguée, énervée aussi. Elle a l'impression que rien n'est juste, que son existence est vaine et qu'elle devrait tout abandonné. Mais en même temps, elle a cette petite voix au fond de sa tête qui lui dit qu'elle est destinée a faire mieux, faire pour les autres. Alors elle essaye, encore et encore. Elle tombe, reste par terre un instant, quelques secondes trop longues, regarde les étoiles et se élève, prête a rater encore une fois, a échouer comme elle le fait si bien. Mais elle essaiera toujours d'aider les autres, car c'est ce qu'elle sait faire de mieux. Ce qu'on lui a apprit.\n\nMais surtout elle essaye. Essaye de faire de son mieux, de sourire, rire, parler. Elle essaye de ne pas montrer toute cette haine qui la consume. Alors elle fait semblant, tout le temps, constamment. Elle sourit pour montrer qu'elle est normale, elle rit pour montrer qu'elle ressent quelque chose, parle pour montrer qu'elle n'a pas rien a dire. Elle fait de son mieux, pour essayer de ne pas se perdre dans ce monde qui est un peu trop grand pour elle, un peu trop nouveau. Ce monde ou elle ne se sent pas entièrement a sa place. \n\nAlors même si elle est fatiguée, elle recommence, essuie la sueur de son front du dos de sa main et avance comme elle peut. ","perso_facts_yn":"Oui","perso_facts":"Gazel — un sourire fatigué sur le coin des lèvres quoi qu'il arrive — les mains fines, osseuses, couvertes de bagues, et comme toute bonne infirmière, froides quoi que tu fasses — de grands yeux bleus, constamment fatigués et cernés quand bien même tu essayes de les maquiller — les cheveux, s'ils ne sont pas laissé libres, attachés en un chignon serrés sur le haut de ton crane, quelque chose pour se débarrasser de ces mèches qui te barrent la vue — pas très grande du haut de son mètre soixante — la peau douce, dorée, recouverte de grains de beauté dispersés ci et la\n\ninfirmière en traumatologie, tu travailles de nuit, pas que tu aies eu le choix, mais au fond t'aimes bien, vivre la nuit et laisser la journée aux autres, rentrer alors que tout le monde commence sa journée — si tu pouvais, tu changerais de spécialité, pas que t'aimes pas la traumato, mais tu es fatiguée de voir tout avant tout le monde et voudrait respirer l'espace d'un instant — t'es fatiguée, trop fatiguée de tout ça, mais tu tiens le coup (jusqu'à quand? (ton corps et ton esprit ne vont plus vraiment suivre)) — tu adores les oignons, tellement que tu en fais pousser dans ton appartement (avec peine ceci dit) — tu as même un avocat avec une belle tige que tu te plais à appeler ton fils — et si tu le pouvait ton appartement serait rempli de plante, mais seulement pour l'esthétique, parce qu'en vrai tu ne saurais JAMAIS t'en occuper correctement (c'est pas comme si tu avais le temps ou l'énergie pour) — beaucoup de caféine dans un si petit être, t'aimes bien le gout, et c'est la seule chose qui te fait tenir quand les journées se font trop longues","perso_story":"\nSe lever chaque matin, se brosser les dents, boire son café, grimacer parce que le mélange café dentifrice n'est pas le meilleur que tu as gouté jusqu'ici (tu devrais le savoir pourtant)\nFermer a clef, marcher, monter dans le métro, entrer au travail, se changer, discuter, rire, être sérieuse, pleurer un peu dans un cagibi, faire face, sourire, se changer, quitter le travail, monter dans le métro, marcher, fermer a clef.\n\nTu es fatiguée, Gazel, le sourire qui ornais tes lèvres s'est affaissé au fil du temps, et tu n'est plus aussi pétillante qu'avant. Le temps, les années, le métier, tout te fatigue et a réussi a te transformer en une personne que toi même tu ne reconnais plus vraiment, l'ombre de toi même.\n\nTu n'as pas eu la vie difficile pourtant. Toujours en train d'aider, d'apporter tes précieux conseils. Toujours en train d'être la meilleure version de toi même, un sourire accroché a tes lèvres quoi qu'il arrive, parce que c'est la chose que tu sais (savais ?) faire le mieux. Et même si aujourd'hui tu continues, tu t'accroches et fait de ton mieux, tu es fatiguée Gazel, fatiguée de tout ça, de tout ce que tu vois et un peu de la vie aussi. \n\nPetit bébé tout dodu aux yeux bleus qui se sont ouvert sur le monde dans la joie, l'amour et la douceur. Gazel tu n'as manqué de rien ; seule et unique enfant de ta famille (peut-être aurais tu aimé te sentir moins seule au final), tu as vite appris que pour être aimée il fallait aider et pour aider il fallait arrêter de penser à soit.\n\nC'est pour ça peut-être que t'en es la aujourd'hui ? T'as jamais fait vraiment attention a toi, tu te contentes du nécessaire, parfois même pas. Toujours prête a aider les autres au détriment de ta propre personne sans doutes. \n\nT'es fatiguée, épuisée, en colère un peu aussi ? Contre toi et le monde, de t'être laissée aller jusque là. Parce que t'aurais pu aller plus loin que la ou t'es aujourd'hui. Pas que tu n'aimes pas (plus) ta vie, mais au fond ton cœur se serre quant a tout ce que tu aurais pu être, ce que tu aurais pu devenir si seulement t'avais été un peu plus comme ça et un peu moins comme ça.\n\nEt puis tu te demandes, et si tu n'étais pas devenue infirmière, comme tes parents le voulaient, comme tes parents t'ont poussé a le faire ? Parce qu'après tout être infirmière c'est une bonne chose, non ? Peut-être serais-tu un peu mieux dans ta peau et ta vie a l'heure d'aujourd'hui. \n\nPuis UNITY, et ses promesses d'un monde meilleur. UNITY que tu ne peux ni voir ni entendre, que tu ne peux supporter, parce qu'UNITY n'est pas ce monde parfait dont tout le monde rêve. UNITY est fausse, UNITY ment. UNITY ne devrait pas être aussi importante qu'elle l'est aujourd'hui. Alors tu la déteste, en silence. Tu gardes ta colère contre Elle en toi, et la laisse te ronger alors que chaque jours tu vois une de ses victimes traverser les portes de tes urgences. \n\nAu lieu de ça tu souris, répare, recouds, soigne, aide. Tu travaille encore et encore pour essayer de ressentir quelque chose, tu ne t'arrêtes seulement que quand tu es bien obligée, et que le jour se lève et que tu dois rentrer chez toi alors que la vie reprend son cours, aidée par le soleil qui vient de se lever. \n\nAlors tu te contentes de soupirer, tu enfiles ta blouse et chaque jours tu souris alors que tu sais très bien que le prochain sera plus dur que le dernier. Tu erres sans but dans les couloirs de l'hôpital, déambule ivre dans les rues ; tu fais de ton mieux.","player_pseudo":"(Dor)Mousse","player_pronouns":"she/her/elle","player_icon":"url(\"https://i.imgur.com/7x5ZHhv.png\")","player_description":"vous êtes ???? TROP BEAUX????? purée je vous ai vu j'ai instant flash sur votre design je suis BOUCHEE BEE, et alors votre contexte mamama je ne pouvais pas rester sans m'inscrire alors me voilà, trop trop hâte de découvrir + votre communauté vous avez l'air incroyable bref je m'arrête la sinon je ne vais jamais m'arrêter, vous êtes vraiment trop beaux","design_citation":"Et si le ciel s'écroule, si les continents plongent, je te suivrais même jusque dans tes songes","design_icon1":"none","design_icon2":"none","design_banner":"url(\"https://i.imgur.com/SanHeEI.png\")"}