Cassiopée
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Fiche : 
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Icône (130x130) : 
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Prénom Nom (La Société) : Circée von Ordelia
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Circée von Ordelia
Âge : 27 années
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27 années
Pronoms : Elle/Elle
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Elle/Elle
Résidence : faubourg - wagner
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faubourg - wagner
Occupation : Mannequin de la maison Olympe
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Idéologie : Themis
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Cercle : UNYvers
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Messages : 151
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Nectars : 501
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si d'aventure vous vous aventuriez dans cet espace numérique qu'est unity ; si d'aventure vous n'étiez pas un simple avatar méconnaissable ; si d'aventure vous aviez une réputation : déguisez-vous pour passer inaperçu. ce que tu fis en sortant du bureau de réalisation, mèches glissées et entortillées dans un maigre bob tandis que lunette de soleil aux verres jaunâtre cache tes pupilles : habits passent partout. simples bottines pour être confort et sac immense pour contenir des affaires de rechange ; c'est que ce déguisement n'est pas fait pour durer. après tout : il t'attendait. mais avant cela, tu devais passer à un certain endroit en particulier ; une petite surprise de taille t'attendait. tu pris donc la direction que ton navikit t'indiquait ; ne préférant pas passer par la voie de l'air : c'est que tu voulais rester pied sur terre. slalomant délicatement entre cochon et loup ; entre musiques et silences ; entre petit et immense. inaperçu ou le croyant tout du moins ; c'est que les murmures sont tenaces : s'accrochent aux chevilles. tu n'avais pas le temps.
une petite vibration, c'est que t'étais arrivé là où tu devais être. en avance, bien entendue ; c'est qu'on ne fait attendre que les impatients ou les impertinents. la personne qui allait te recevoir ne le méritait pas ; il avait accédé à une requête peu orthodoxe après tout, méritait un tant soit peu d'éloges minimalistes. poussant la porte d'entrée qui ne fit aucun bruit, glissant subtilement avant de se refermer derrière toi ; te laissant le soin d'admirer la boutique. d'une arche de métal parsemé de trous carrés ; laissant des plantes grimpantes se nicher entre ces creux, de frêles lumières descendant de ce plafond si particulier. l'arche se tordant jusqu'en bas pour laisser le soin aux boîtes semi-ouvertes de laisser transparaitre les délices à l'intérieur ; si colorés ! tu voyais certaines mascottes orangées en passant par des fruits de toutes formes et tailles différentes ; le tout dans des boîtes abracadabresques. une longue table de bois se tenait fièrement au milieu du lieu, se déversant en T jusqu'au comptoir central ; suivant son toucher entre deux doigts tandis que tu avançais silencieusement.
personne à l'horizon si ce n'est une petite clochette que tu fis tinter ; une petite pichenette pour qu'elle éclabousse la boutique de notes tintées. excusez-moi ? d'une voix ni trop haute perchée, ni trop pimpante ; sobre et efficace. croisant les bras sur ton buste pour ne point laisser le froid s'infiltrer ; pour que chocolat ne fonde guère, c'était nécessaire. frottant doucement tes bras, machinalement ; laissant ton regard dériver vers les hautes étagères que tu entrevoyais qui déversais encore des merveilles ; toutes plus fabuleuses les unes que les autres. n'était-ce pas un cygne majestueux que tu croyais apercevoir ?
Invité
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Comme un cocon dans lequel il se plaisait à s’entrainer.
Une sorte d’expérience, un premier essai pour son objectif.
Et puis grâce a ca, il pouvait voir de nouvelles têtes.
Il y avait ce jour où il avait reçu cette commande pour des chocolats en forme de coeur.
Surpris par la demande qu’on lui avait adressé notamment par la note sur les parfums surprenants.
Il s’était dit que c’était un défi.
Oui un défi à relever.
Mais au fond.
Il était surtout honoré d’avoir été choisi par cette personne pour être celui qui confectionnerait ces chocolats.
Il ne pouvait pas reculer.
Il ne pouvait pas décevoir.
Il avait passé des jours et des jours a expérimenter différents parfums.
Son palais n’en pouvait p l u s.
Mais c’était le jour J.
Encore présent dans l’arrière-boutique à enfin fermer la boite, il avait finalement finalisé son projet.
Et il entendait les clochettes tinter.
Sans nul doute sa cliente.
Il pouvait enfin voir a quoi ressemblerait a cette personne qui lui avait formulé une telle demande.
Enfin.
Voir son avatar.
Il s’était avancé en entendant sa voix.
La boite en main.
« Bien le bonjour, nous nous rencontrons enfin. »
Grand sourire.
Il posait la boite sur le comptoir.
« Je suppose que vous voulez jeter un coup d’œil a ces, j’espère, merveilles avant de repartir mh ? »
Il penche un peu la tête.
Attend la réponse patiemment.
Cassiopée
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tu te penchas un peu plus sur le comptoir pour essayer d'apercevoir si c'était bel et bien un majestueux cygne entre deux autres magnifiques gâteaux ; tu n'eus pas vraiment le temps. tu te replaças rapidement comme tu pouvais en cachant ton air embarrassé tandis qu'un individu de petite taille se rapprochait de toi ; ses cheveux d'un tantôt vert éclatant sur le bout et les racines et d'un vert plus sombre de base étaient hypnotisants. tellement que tu ne pus que le regarder dans les yeux quand il prit la parole ; clignant plusieurs fois des tiens avant de laisser le même sourire que le sien fleurir sur ton faciès.
il reprit la parole et tu le laissas faire ; le regardant pencher la tête ; te rappelant le comportement de certains volatiles de nuit qui épiait leurs prochaines victimes. fronçant par la même occasion tes sourcils avant de chasser cette idée grotesque de ton esprit et de reprendre un sourire afin de lui répondre convenablement. tout à fait ! te penchant sur le plan de travail pour te rapprocher de ladite boite et des merveilles la composant ; peut-on appeler cela ? ce n'est qu'une douce torture pour le destinataire, mais cela ; il ne le saurait que plus tard.
tu pris un petit air conspirateur, osant même baisser ta voix alors que vous étiez seul dans la boutique ; c'est que l'effet devait être tenu jusqu'à la fin du spectacle. dites-moi tout ... quels sublimes parfums avaient vous composé ? utilisant les termes d'une partition puisque après tout, c'était un concerto de sensations qui allaient s'emparer de la bouche ; mais pas la tienne. jamais. tu sentais déjà un mini diabolisme sortir de l'individu en face de toi ; pour sur qu'il allait te sortir des recettes dignes d'une série fantastiques. c'était quoi son nom déjà ? harpy potler ? tu avais oublié ; en même temps, cela datait d'un temps bien trop ancien pour ta pauvre petite cervelle de moineau ; mais nul doute que tu reviendrais chez coccinelle s'il était à la hauteur de tes attentes. croisant même les doigts entre eux avant de poser sur le dos de tes mains ton menton ; prête à entendre. à recevoir le bonheur.
Invité
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Il penche un peu la tête.
Mais ne l’interrompt pas pour autant, elle réplique, confirme sa présence et alors que la boite est ouverte, elle demande bien évidemment ce qu’il a pu y mettre.
C’est là que ca se corse.
Coccinelle doit vendre son produit, en faire un formidable exposé.
Il se montrera fidèle a lui-même : passionné.
Le voilà en train de montrer les chocolats un par un.
« Alors nous avons un chocolat au lait, un classique mais je pense qu’il a le mérite d’être dans cette boite, après tout vous vouliez un peu de tout je me trompe ? »
Léger sourire.
Il reprend.
Montre un autre chocolat.
« Celui-ci est à la pâquerette, vous me direz quel gout a une pâquerette ? Je vous rassure c’est pas toxique, mais assez … surprenant. »
Il gardera la sourire.
Se concentre sur le prochain met.
« Là on a un chocolat œuf de poule, c’est pas vraiment le plus bon mais vous devez vous en douter. »
Continue en montrant le prochain.
« Celui-ci est un mélange framboise, fondant au chocolat, une tuerie, comme dit il faudra bien de bonne surprise si vous voulez qu’il ou elle continue à les manger. »
Léger rire, il en montrera un autre.
« Et là on a un chocolat gout liquide vaisselle, c’est assez … spécial. »
Il n’en mangera pas tous les jours.
Légère grimace.
Il finira par s’arrête un court instant.
La fixe.
« Est-ce que ça vous convient pour l’instant ? »
Autant avoir son aval avant de continuer.
La b a s e.
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la note qui résonne ne se fait point entendre tandis que tu le vois commencer à ouvrir les lèvres. alors, tu utilises tout le sérieux que tu puisses tandis qu’il commençait ses descriptions. il commence par quelque chose de simple, de classique mais qui a le goût de ravir tout consommateur de chocolat ; celui au lait. tu ne peux qu’approuver avec un bref hochement de tête, point surprise. c’était délicat et délicieux, après tout, pourquoi s’en priver ? aucunement ! le lait ravit les papilles, mais celui qui suit te fait écarquiller les yeux de plaisir, tandis qu’un léger sourire similaire au sien naît et renaît sur tes lèvres ; pour sûr que celui-ci commence à être étonnant ! la pâquerette. il devance même ta question.
absolument que tu souhaitais savoir, mais en description ; ne pas y plonger tes lèvres. surtout vu que même lui utilisait le terme “surprenant” pour décrire cela. celui d’après te fait un petit peu pouffer de rire avant que tu ne reprennes contenance ; ce n’était clairement pas le plus bon du lot et tu appréhendais déjà de voir le faciès de ta pauvre victime. qui aime bien châtie bien après tout ; jusqu’à l’extrême pour dérider ses yeux bien trop ternes. le suivant n’est que pur délice, framboise coulante, tu en saliverais presque et tu ne peux qu’approuver le choix ; faire croire que certains sont bons et d'autres bien pires. confirmée par le choix d'après qui te fait froncer les sourcils et plisse ta bouche, le liquide vaisselle ne doit réellement pas être délicieux. diabolique ses idées ; autant que toi.
est-ce que ça vous convient pour l’instant ? tu te permets un énorme sourire tandis que tu te redresses doucement pour applaudir faiblement ; prenant par la même ocassion la parole pour confirmer ce geste absolument ! ne vous arrêtez pas en si bon chemin, j’ai hâte de connaître la suite… de cet affront que tu oseras commettre. te calant un peu plus confortablement tandis que tu tires un tabouret pour t'asseoir dessus ; reposant un coude sur la matière pour fixer de haut cette magnifique boîte de purs maléfices. si tu étais le diable, celui en face de toi serait dieu ; créant et recréant une vie de délices. au péril de la vie d’adam.
Invité
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Une boite de bijoux à ses yeux.
Chacun ayant sa spécificité.
Et il est attentif à la moindre de ses réactions : elle semble captivée par ses mots.
Tant mieux ça prouve qu’au moins il sait bien attirer son attention.
Il ne compte bien évidemment pas s’arrêter en si bon chemin mais voulait s’assurer que tout allait bien avant.
Elle lui répond, explique qu’elle est plutôt satisfaite et l’invite à continuer.
Il sourit légèrement.
« Très bien, me voilà ravi, je vais donc continuer. »
Son regard se porte sur un énième chocolat, il le montre.
« Celui-ci a un gout de parfum à la rose, c’est autant surprenant qu’écœurant je suppose en fonction des goût. Vous me direz si il ou elle a apprécié ou non, n’est-ce pas ? »
Il reprendra, montrant le reste des chocolats de gauche à droite.
Un par un toujours.
Il se montre toujours aussi méticuleux dans sa présentation.
« Celui-ci est au beurre de cacahouète, un délice. Celui là est un chocolat goût eau de mer, un chocolat salé autrement dit je pense pas qu’il fera l’unanimité. Ce chocolat là est à la menthe, c’est plutôt bon vous verrez et celui là a le gout de gazon, un classique aussi en quelque sorte je pense pas que vous soyez étonné pour le coup. »
Il prendra une légère pause.
Avant de reprendre sur les deux derniers chocolats.
« Ces deux derniers chocolats sont tout aussi spécial, un est absolument divin, c’est un mélange de framboise et de fondant au chocolat, ça se marie plutôt bien pour un format de ce calibre. Et ce dernier à un gout plutôt détestable, enfin sauf si vous aimez le piment je suppose ? »
Et voilà qu’il a fini.
Il laisse la boite ouverte au cas où.
La fixe.
Se laisse le temps de reprendre son souffle et finira sur sa lancée.
« Alors qu’en pensez-vous ? Est-ce que cela vous va ? »
Penche un peu la tête.
Attends de voir ce qu’elle en pense.
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et que dieu te tienne en pitié de ton sadisme mémorable que tu infligeras à la pauvre personne qui recevra cette merveilleuse boîte : car la suite est tout aussi fructueuse que le début. tu suis du regard le doigt qui pointe vers un autre coeur qui a l'air si anodin : ne l'est nullement ; d'un goût de rose, tu ferais presque une grimace, ne peut que pencher un peu la tête en fronçant les sourcils, hochant par la même occasion ; tu ne manqueras pas de lui envoyer un petit message sur le ressenti. prête à décortiquer ses moindres mouvements pour deviner quel goût il avait reçu ; te reconcentrant sur ces doigts. sur l'avancée de tout cela.
le beurre de cacahuète donnait bien envie ; même si tu te demandais si cela n'allait pas être écoeurant : espérant qu'il ne soit pas allergique à cela. ce serait dommage que cela se termine dans un lit d'hôpital ; tu risquerais de ne plus pouvoir l'approcher à moins de trente mètres pour cause : tentative de meurtre. tire un peu la langue sur le parfum suivant ; le salé n'est clairement pas ce que tu préfères et le sel encore moins ; mais le suivant te permet de la rentrer, c'est que la menthe doit être fort rafraichissante sur le palais, surtout après les autres tortures. le gazon doit être très plaisant, un sourire sur ton visage en imaginant les mimiques d'autres victimes potentielles qui te viennent en tête.
on arrive malheureusement aux derniers et tu serais presque déçue que cela soit passé si vite ; si parfaitement bien, ne pouvant que sourire davantage, le divin et l'insupportable l'un à côté de l'autre. tu lui laisses reprendre son souffle, laisse ton regard dériver vers le sien, croisant tes doigts entre eux ; le menton sur le dos de celles-ci. humectant tes lèvres sèches, d'une furieuse envie de piocher dans cet antre de goûter ; mais se retiendra c'est parfait oui, je vous en remercie ! je ne pouvais pas rêver mieux ... le regard qui se détache de l'individu pour regarder sur les étagères alentour ; revenir et se demander auriez-vous des sachets ... bien osés ? du style, rose presque fluo, quelque chose qui ferait rougir même les hommes ? quitte à terminer en beauté, autant que la boîte soit bien englobée, englobée de mauvaises pensées mais d'une envie toute particulière de dérider.
un sourire presque innocent sur ton visage ; c'est qu'on ne croirait pas que tu puisses vouloir autant de mal à autrui ; mais un mal pour un bien. il fallait bien lui faire découvrir plein de mimiques différentes pour le conforter dans son travail ; n'est-ce pas ? mensonge évident et éhonté.
Invité
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Coccinelle le souligne.
Il en est heureux.
Il sourit doucement en l’entendant lui signifier que c’est parfait.
Elle le remercie.
« C’est bien normal, j’espère que celui ou celle qui recevra ce présent en sera tout aussi satisfait. »
Léger rire car il sait très bien qu’au gout de certain chocolat c’est difficile d’être satisfait.
Il regarde dans une étagère.
« Je dois avoir ca … »
Et trouve les fameux sachets.
Il en prend une bonne partie.
Les poses sur le comptoir.
« Prenez-en autant que vous voulez, je vois que vous avez le sens du détail, ce fait plaisir. »
Un sourire qui ne quitte pas son visage.
Il étale les sachets, reprend la boite de chocolat et l’emballe après avoir recueillis son approbation.
Le paiement étant fait dans la foulée.
Coccinelle a accompli sa mission.
Le voilà plus que satisfait.
C’était un défi qu’il s’était lancé.
Et il l’a réussi.
Il saluera la demoiselle.
« Ravi d’avoir pu vous satisfaire, a la prochaine je l’espère ! »
La porte se referme.
Il peut enfin souffler.
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